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Bonjour, toi.
....alors enfuis toi...
C'est par ici...
...Mais gare à toi...
...si la grande vie....
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Jeudi (27/01/11)
Ecrire
Ecrire pour vivre
Vivre peut être un jour de plus. J'ai regardé sur sa clé, son ancienne clé, clé USB. J'ai vu le dossier , le dossier roman. Quel roman ? Peut être celui de science fiction qu'il veut écrire et dont il me parle parfois. "L'agonie" Titre terrible, titre angoissant. J'ouvre. "Fête + 3" "3 jours après la catastrophe" comme il le dit. le premier chapitre, parle d'un homme. Un homme mort, mort d'avoir aimé, aimé pendant six ans, une femme qui l'a quitté, quitté parce qu'amoureuse d'un autre. Sur son papier, il panse ses plaies, il les fait fondre, il torche sa douleur. J'ai mal. Les larmes viennent. Je suis là, je suis la suivante. Je suis venue prendre sa place un an après, après cette femme. Je souffre, souffre à l'idée de lui faire du mal, souffre à l'idée que cela pourrait recommencer. Souffre quand je me dis que personne n'est à l'abri de s'arrêter d'aimer. Ecrit par Yume66, à 13:40 dans la rubrique "Actualités".
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Mercredi (26/05/10)
Complainte de la pluie par Philip Glass
--> Opening
Aujourd'hui j'ai eu envie d'en finir.
Comme une impasse, comme un mur qui s'est installé devant moi. Plus rien. Je n'arrivais plus à distinguer mes amis et mes ennemis. Tout semblait partir en fumée, alors je me suis accrochée, accrochée. J'ai tendu mes veines au maximum et sorti les voiles de mes poumons. Il me manque de l'air. Et il me manque surtout la force. La force d'y croire. La force de se dire que je peux enfin m'en sortir. Sortir de ce cercle vicieux sans fin, arriver à arrêter de me juger continuellement. De le faire sans pensées négatives, de ne pas entendre les rires derrière chacune de mes actions. Comme si tout cela, je l'avais déjà fait, comme si j'avais déjà abandonné avant. Je me suis rendue compte alors à quel point je me sentais seule. Quand il n'était pas là. Il me disait : "allons, montons sur nos vélos et partons". Et alors je me sentais légère, et vivante, vivante sur ce vélo avec toi devant qui me guidait, rassurant. J'ai besoin d'un guide. Je n'y arriverais pas toute seule. J'ai besoin qu'on me mène, j'ai besoin qu'on me dise: "Faisons le, faisons le ensemble. Ensemble nous pourrons et cela te semblera normal au bout d'un certain temps." Car je ne me suffis pas. Je suis trop faible et trop fragile. J'ai eu beau me le dire pendant longtemps. Je n'y arriverai pas toute seule... Je n'arriverai pas à vivre toute seule. J'ai besoin d'un soutien, j'ai besoin d'une canne. Quelqu'un qui me prenne par le bras, qui me dise :"gauche, droite, gauche, droite". En douceur, qu'on me rééduque. J'ai oublié le plaisir de peindre comme j'avais oublié le plaisir de pédaler. J'ai oublié la chaleur du soleil. J'ai oublié le plaisir de manger J'ai oublié ce que c'est de ne plus être dépendante. J'ai tenté d'oublier ma vie. Il ne faut pas que je t'oublie mon amour. Il ne faut pas que mon angoisse et mon ennui te dévore, et que tu sois rongé par ma lassitude. Il faut que je me dise que je suis capable. Pour ne plus entendre à chaque fois ces voix. Encore une activité ? Tu ne vas jamais jusqu'au bout ! Toi, garder un enfant ? Mais tu n'as aucune expérience ! Qu'il continue à me regarder, comme si c'était naturel, comme si j'avais fait ça toute ma vie. Allez viens on va courrir. Allons nous promener. Que j'ai enfin l'assurance, que ce que je fais, ce que je touche, n'est pas du à la même fin, comme un fatalisme. Trouver la force. Trouver la force en toi, Trouver la force en nous, Trouver la force en moi. Enfin. Ecrit par Yume66, à 18:48 dans la rubrique "Actualités".
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Mardi (26/01/10)
Mon amour a les yeux bleus
Bleus comme ceux d'un enfant Enfin réunis Réunis dans nos propres bras Brassés par l'air froid Froid de tes yeux bleus Bleus comme un enfant. Je veux te le dire Mon amour, je le veux L'avenir avec toi Ensemble dans tes yeux bleus Lui dans mon ventre Mon ventre dans mon corps Mon corps dans tes bras Tes bras autour du monde Le monde qui chavire Chavire sur la mer bleue Bleue comme tes yeux Tes yeux d'enfants. Ecrit par Yume66, à 14:43 dans la rubrique "Actualités".
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Mardi (19/01/10)
Pour éviter la douleur, la solution n'est pas de s'arrêter de penser, mais de penser "bien"
C'est la réflexion que je me suis faite devant mes problèmes. Mes petits problèmes après tout... Yume : Que se passe-t'il ? Ecrit par Yume66, à 14:49 dans la rubrique "Actualités".
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Lundi (14/12/09)
Didon et Enée
--> Dido's lament
When I am laid I am laid in earth May my wrongs create No trouble No trouble in thy breast When I am laid When I am laid I am laid in earth May my wrongs create No trouble No trouble in thy breast No trouble No trouble No trouble in thy breast No trouble No no... No trouble No trouble in thy breast Remember me Remember me But, ah, forget my fate Remember me Remember me But, ah, forget my fate Forget my fate... Remember me... Chorus : With drooping wings ye cupids come, and scatter roses on her tomb, soft and gentle as her heart; Keep here your watch, and never part Ecrit par Yume66, à 22:30 dans la rubrique "Actualités".
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Apprends moi ses gestes
Je n'ai que 19ans je suis petite à côté de toi
Tu n'as qu'à m'apprendre à aimer. Apprends moi les mots qu'on souffle à l'oreille, articule mes gestes d'affections. Répète ces phrases. Apprends moi le langage du regard ces formes et ces baisers. Dis moi que tout ça sert à quelque chose. Fais moi croire que ce n'est pas éphémère. Et si tu me disais que je suis la seule, alors je veux bien me laisser t'aimer. J'ai encore peur de toi, j'ai encore peur de moi, j'ai peur de ce visage dans le miroir, j'ai peur de ma figure dans tes yeux, si floue. J'ai envie de t'aimer, mais toi tu me vois comme une enfant. Tu es injuste, je te vois si grand. Nous sommes tous les deux difformes. Les yeux sont des miroirs déformants Ecrit par Yume66, à 16:15 dans la rubrique "Actualités".
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Samedi (28/11/09)
Suis-je un chat de gouttière ou un persan banni ?
Un bijou est-il un bijou sans son écrin ? Je me force à aimer. Je me force à ressentir de l'amour pour être. J'existe ? J'existe. Je marche dans le vide, sans support, et quand je vois quelqu'un, une marche, une aide, je monte dessus, et je m'agrippe, je m'agrippe avec mes ongles et mes dents, je m'aggripe à ce corps immobile. "Je l'aime, je l'aime" Oui je ressens quelque chose, oui je suis là, ça y est je me ressens. Je suis quelqu'un, enfin à travers toi, mais sans toi je ne suis rien. J'ai besoin de toi pour vivre et si tu cesses de me regarder je tombe. Ce sont tes regards qui me font tenir debout, tu ne m'écoutes pas, je meurs. J'ai peur, tellement peur de ce vide, ce vide si profond, qui m'envahit, qui vient des entrailles, c'est psychologique et en même temps c'est profondément physique, ce vide, cette mort qui me prend d'en bas. Mais je ne veux pas, non je ne veux pas. J'ai si peur. Je t'aime, je t'aime, aime-me moi.
"With drooping wings, ye Cupids come, And scater roses, scater roses on her tomb. Soft, and gentle as her heart. Keep here, here your watch. Keep here, and never part..." Laisse moi te voir me regarder. Je me cache derrière une ombre, ai-je jamais aimé ? Mon petit nombril me regarde dans la glace d'un air triste, et cette voix, cette boite à musique sans cesse qui me répète : ne me laisse pas tomber, sauve moi de ce trou béant, ce gouffre devant moi. Sauve moi, je t'en prie sauve moi. Je t'aime, je ne suis rien sans toi, alors ne regarde pas autour. Existe aux yeux des autres, car je ne suis rien sans leur regard. L'invisible me tue. Seule, seule je suis, seule je meurs. Ne me cache pas aux yeux des autres, car si tu as honte de moi les autres ne doivent pas le voir, alors chut chut sois belle, illumine les regards. Fais briller leurs yeux, donnent leur envie, sois unique, sois plus que toi, sois autre, sois la seule, sois la seule, mais pas seule. Dans le mirroir apparait une fille au regard triste, qui attend un signe, le regard d'un garçon, le regard de la fierté, le regard de l'envie, mais le regard toujours le regard. J'ai souvent fait ce rêve, où je cours après quelqu'un, et je n'arrive jamais à le rattraper, et je l'apelle mais il n'entend pas. Ca se répète, ça ne s'arrange pas. Je croyais changer mais au final je suis toujours la même. Petit nombril, ne t'ne fais pas, tu ne seras plus seul, je suis là. Même si personne n'est là pour te regarder je serais là, je te regarderais avec cet air de pitié , cet air qui dit, tu es laide mais je t'aime quand même, allons, ne pleure pas. Nous sommes tous les deux tu vois, nous sommes ensemble. Nous ne serons jamais seuls. Jamais. Je serais toujours avec toi. même quand les regards auront disparu il y aura toujours mon oeil pour te montrer que tu existes. Je ne t'ai pas oublié, je sais que tu es là, dans les entrailles, et j'entends ton cri, ton cri si fort qui hurle "Keep here ! Here, your watch." Et je ne peux pas compter sur les autres, ils ne comprennent pas, ce ne sont que des écrins, j'aimerais qu'ils soient plus que cela mais, je n'y arrive pas, parce que j'ai honte. J'ai honte de toi petit nombril, je refuse de te présenter à eux. Je refuse de leur dire: "regardez, voilà, voilà ce que je suis, je ne suis qu'un petit nombril." Je t'aime bien au fond, mais c'est par pitié. Tu n'es pas présentable tu sais petit nombril, je ne veux pas te montrer aux autres. Je ne suis pas assez fière de toi, et tu le sais, et tu en souffres. Tu entends mes petits soupirs, mes petits mots, ces mots cachés derrière les "je t'aime quand même" ces mots qui disent en fait "je te hais, je te hais. J'aimerais que tu te transformes, j'aimerais que tu ne sois plus toi, que tu sois autre. Je te hais car je suis dépendante de toi petit nombril. De tout ce que tu dis. Je hais ta dépendance à ces regards, je te hais toi qui te nourrit, qui te nourrit sans cesse de ces objets affreux, qui te ment à toi même, qui me ment. Je hais tes mensonges grossiers. Je te hais tout entier et en même temps j'ai pitié de toi. "Pauvre, pauvre petit nombril, ne pleure plus petit tout petit, je suis là pour toi, regarde je te nourris. Personne ne me remplacera, nous mourrons toutes les deux seules et un jour le gouffre ce sera le gouffre qui nous mangera et dans un souffle tu me diras "Regarde moi tomber. Même dans la mort laisse ton regard posé sur moi, à jamais. Si je meurs, tu meurs avec moi, car tu le sais, tu n'es rien sans moi." Et je ne veux pas dormir. Et je ne veux pas m'éteindre, même pour quelques heures. Je veux que mon esprit sois toujours là , toujours consciente, que je garde toujours un oeil sur toi. Comment guérrir de toi? Toi qui est dedans, toi qui est dehors ? Comment te faire taire ? Je me répète dans mes mots, je me répète dans mes pensées, mais j'avance quand même, j'avance dans ma main et j'avance dans mes doigts. Me voir avec d'autres, me voir libérer de toi, me voir sans toi petit nombril, ça me fait tellement du bien. Mais je n'arrive pas à me faire aimer des autres, je suis une montagne gelée et glacée. Alors mes fantasmes, mes films se brisent comme du verre, et tu me dis "c'est bien fait. Tu n'avais qu'à pas penser à te séparer de moi! Tu n'es pas faite pour vivre avec les autres. Aucun garçon ne t'aimera, et tu n'arriveras pas à en aimer. Renonce et reste avec moi." "Let me, let me freeze again To Death..." Ecrit par Yume66, à 22:20 dans la rubrique "Actualités".
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Jeudi (29/10/09)
Le Retour du Chat de Cheshire
Un retour au blog
J'étais endormie. Et dans ces cas là, quand on a pas de réveil la seule chose qui puisse vous réveiller c'est la gens. Quand, après des siècles d'absences, la BOBD (Belle au Bois Dormant) réalisa qu'elle était en train de dormir, que des toiles d'araignées commencaient à s'installer tranquillement dans ses cheveux, autour de sa chambre et sur son blog, elle se dit qu'elle devait absolument appeler une bonniche pour nettoyer tout ça. (ben oui c'est une princesse quand même). La question de l'instant est alors : pourquoi mettre cette image déroutante au réveil de ce blog ? Réponse A : Pour marquer le coup Réponse B : Pour introduire subtilement une question esthétique et philosophique sur l'art Réponse C : Parce que c'était la seule image que j'avais sur mon bureau Réponse D : Parce que je l'aime bien Alors ? Je peux toujours essayer de participer à ce quizz. Même moi j'ignore la réponse. Dans ce genre de cas, au réveil, le subconscient nous joue des tours plus ou moins vils et mesquins et le surmoi, trop dans le "paté", n'est pas assez rapide pour y répondre et y mettre un terme. C'est pourquoi j'affirmer haut et fort que cette image a été posée sur ce blog à mon insu. L'air de rien il fait ses petits tours de son côté (admirez le jeu de mot), en se foutant des conséquences. Mais bon, puisqu'il le faut il le faut ! (comme dirait Mary Poppyns). D'abbord, examinons la réponse A: Marquer le coup. Pourquoi pas ? C'est plutôt choquant et disons que c'est de circonstance pour le réveil d'une fille qui était censée être morte non ? Réponse B: Pour introduire une question...gnagnagna (à lire en haut) Oui, ça me ressemble bien. Pour moi tout est caution à philosopher c'est bien le problème. Il est vrai que ce tableau pose quand même des notions d'esthétisme (ou esthétique d'ailleurs?) évidentes. Donc oui, la réponse B est probable. A mettre de côté. Réponse C maintenant: Parce que c'était la seule image que j'avais sur mon bureau Certes, mon bureau est quelque peu déserté ces temps-ci. Vous me direz: c'est tout de même étrange d'avoir ça sur son bureau. Mais moi je dis : Tant que je l'ai pas mis en fond d'écran je passe pas trop pour une folle. Réponse D: Parce que je l'aime bien Sans doute la réponse finale, et bien que la plus courte,se trouve être la plus vraie et la plus complète. Je l'aime bien parce que elle m'a permis de marquer le coup, parce qu'elle soulève des questions esthétiques et philosophiques sur l'art et aussi parce que c'est bien la seule image sur mon bureau. A vous les studios Ecrit par Yume66, à 01:05 dans la rubrique "Actualités".
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Lundi (25/02/08)
Laissez moi me réveiller
C'est comme un rêve. Pas un beau rêve, mais un rêve bizarre. C'est ce type. Ce type que j'ai croisé allongé sur le banc. J'ai un ami qui le connait. Je lui ai demandé mécaniquement sans réfléchir, j'aurai peut être pas du. "Tu voudrais pas l'inviter pour la fête ?" Il m'a dit qu'il ferait ce qu'il pouvait. Il m'a envoyé un mail en me disant que normallement il devrait venir. Et là j'ai eu un instant de grosse panique. Merde merde merde. Dans mon esprit je m'étais dit "Il va pas vouloir, il connait personne, il va pas vouloir...." Et là, BAM ! Il peut ! Il veut même ! merdmerdemerde... Qu'est ce que je vais faire ?? Bon sang qu'est ce que je vais faire ? J'ai flippé et je me suis ressaisit, je me disais de rester calme, que c'était quelqu'un comme les autres, d'accord ? tu es comme tu es, ne change pas, sois toi même. Et puis aprés ça a été : mais il a dit qu'il devrait Mais là mon Kiwi m'envoie qu'il ne pourra pas l'ammener (ils habitent le même patelin), il me donne son numéro et son msn en me demandant de lui expliquer la route (l'endroit de la fête étant légèrement "paumé" ! Et encore c'est peu dire) J'ai super peur en fait ! J'aurai amé le dire à Kiwi ! J'ai PEUR ! Peur d'être déçue de Lui, de Moi. J'ai peur de notre humanité, de nos défauts, de nos fautes... Peur de le voir draguer une autre. De mettre fait trop de film. Ce banc n'était il pas si blanc ? S'en souvient-il ? Alors je me dis, nous sommes des êtres humains, peu importe ce qu'il arrivera. Tu restes toi, tu ne changes pas, tu es naturelle. Je me suis efforcée. Tu restes sympa, tu fais comme si tu n'avais jamais pensé toute ces choses. Comme si tu ne le connaissais pas (mais je ne le connais pas ! Pourtant j'ai l'impression de tout savoir). Tu ne le connais pas. C'est juste un ami de Kiwi. Nous verrons la suite... Ecrit par Yume66, à 12:01 dans la rubrique "Actualités".
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Mercredi (16/01/08)
La vie c'est vraiment...........
La plus grosse blague cosmique de tous les temps Le mec ou la fille (ou la chaise, ou le carré, ou la moule...)qui a inventé la vie était vraiment un joyeux drille. Pas ces joyeux drille qui vous remontent le moral avec leurs gentilles mais bonnes blagues. Non, ce serait plutôt les blagues mégas lourdes et bien grasses qui font rire personnes sauf celui ou celle qui les dit. ( Ca, c'était le spectacle favori de la chaise créatrice ! (3ème version) Voir les humains comme ça, s'en foutre plein sur la gueule pour décider qui sera le plus fort, la Chaise se pissait dessus à force de rire ! Mais ce qui la faisait vraiment triper c'est lorsque ils décidèrent de créer Dieu ("Qui c'est celui la encore ?" se demanda-t-elle) à leurs images : une espèce de grand barbu, l'air sinistre avec une tête de Père Noël. Alors là, c'était le somum (c'est comme ça que ça s'écrit ?) ! Les Humains croyaient vraiment qu'ils étaient le nombril du monde et que leur créateur devait forcement leur ressembler. Là, la Chaise s'allongeait alors dans son fauteuil en essuyant les larmes de rire que les hommes avient provoqués et songeait alors "Olala qu'est ce que j'ai été inspiré de créer la race humaine..." Ecrit par Yume66, à 21:07 dans la rubrique "Actualités".
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